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Mis à jour le 14 août 2018
– Cependant ils doivent faire l’objet d’un traitement spécial.
Car évidemment il nous arrive à tous de rater plus ou moins quelques coups de golf ! Alors que faire de ces mauvais coups, comment éviter qu’ils compromettent la suite du parcours et notre jeu tout court ?
Surtout éviter d’ancrer les mauvais coups!
Notre cerveau inconscient est capable de tout mémoriser, y compris certaines choses que nous préférerions oublier. Après un parcours voyez comme il est facile de se souvenir de tout, trou par trou, coup par coup…
Donc les mauvais coups nécessitent de mettre en place une post-routine pour évacuer tout de suite les mauvais états internes qu’ils engendrent.

Soyez bon avec vous-mêmes
Tout d’abord et c’est vrai pour les bons et les mauvais coups, il convient de regarder sa balle jusqu’à ce qu’elle s’immobilise. Si le résultat obtenu n’est pas celui escompté il faut tout de suite dédramatiser et se garder de tout jugement négatif.
Tenir un langage du genre « seuls les mauvais coups permettent de progresser ! » ou « mauvais départ n’empêche pas le Par ! ». Verbaliser quitter le passé qui ne saurait être changé, rejoindre tout de suite le présent lieu de l’action. Envie de progresser, jouer quand même pour le Par (d’autant qu’avec un index élevé notre Par peut-être à +1 ou +2), en un mot évacuer la déception, prendre ses distances avec cette contre-performance. La reléguer dans un passé fini, oublié.
Les champions rejouent le coup en simulant un nouveau swing. Ce n’est pas un effet « pour le spectacle » mais un recalage pour chasser de leur mémoire ce qu’ils ne veulent pas garder. Pourquoi ne pas faire de même ? En plus cela évite les commentaires des partenaires ou adversaires qui se contentent alors de louer en silence notre lucidité !
Puis commence la progression vers la balle. Là où elle repose ! Quelques secondes de marche en pleine conscience vont nous détacher du passé. Il est alors temps de voir ce qui peut-être tirer de bon de ce coup, fut-il totalement lamentable.
L’idée est toujours la même : positiver. Se redire encore une fois : « je suis moi, mes valeurs me guident et je crois en moi ». Être bon avec soi-même.
Et commence alors la routine du coup à venir. Le précédent ? Il est loin. Il appartient définitivement au passé.
En deux mots
– Tout d’abord dédramatiser.
– Puis tout faire pour se replonger dans le présent le plus vite possible.
– Et attaquer la routine du coup suivant sans plus de commentaires